Quelques information de la France
La SFAP organise le mardi 9 avril 2024 un webinaire gratuit sans inscription sur le thème :
"accompagnement des malades et de la fin de vie "
Intervenants :
- Jean Leonetti
- Emmanuel Hirsch (philosophe)
- Astrid Panosyan (députée Renaissance)
- François Vialla (professeur de droit)
Gardez le lien zoom il sera identique chaque mois.
https://us02web.zoom.us/j/82306532363?pwd=SklWRjRNdld5ekZhSFFjR0lzZ09aQT09
Code secret : 665313
En complément à cette visioconférence vous pouvez consulter les documents Accompagnement des malades et de la fin de vie et Fin de vie les données du débat
Plaidoyer d’un médecin Rwandais
Plaidoyer d’un médecin Rwandais, mars 2022, le Monde
Rwanda : Christian Ntizimira, un militant des soins palliatifs en Afrique.
Le médecin s’est passionné pour la lutte contre la douleur et encadre le retour des patients en phase terminale à la maison.
Pour en savoir plus, cliquez sur Le Monde
Raconter la souffrance en soins palliatifs
Raconter la souffrance en soins palliatifs : les usages multiples du récit
in Médecine palliative — Soins de support — Accompagnement — Éthique (2018) 17, 208—217
Travailler en soins palliatifs suppose, outre une confrontation fréquente à la mort, la confrontation à de nombreux récits de souffrance. Une souffrance globale qui entre en écho avec la souffrance des soignants, qui apportent leur écoute en accompagnant la personne au plus près de son cheminement.....
Lisez la suite en cliquant sur EM Consulte.
La douleur en question
Lutter contre la douleur constitue l’essence même de la philosophie du soin. La souffrance d’autrui, en effet, est d’abord un appel à notre conscience morale. C’est cette obligation qui fonde le droit des malades, reconnu par la loi du 4 mars 2002 en France, à bénéficier des traitements appropriés visant à soulager leur douleur, qu’elle soit aiguë ou chronique. C’est cette obligation qui a déterminé les pouvoirs publics à mettre en place un Plan d’amélioration de la prise en charge de la douleur 2006-2010. C’est ce même devoir qui nous impose aujourd’hui de prendre en compte cette question avec la plus grande acuité, au travers notamment de grandes priorités présidentielles (Alzheimer, cancer, soins palliatifs).
La douleur chronique exige tout particulièrement des modalités de prise en charge au long cours qui supposent une réflexion pluridisciplinaire. C’est dans cette
perspective qu’il nous revient désormais de travailler, convaincus de la dimension éthique de notre engagement. Notre capacité à répondre aux problèmes complexes posés par la maladie chronique pourrait même constituer un des critères permettant d’évaluer plus globalement la qualité de notre système de santé.
En cliquant sur Douleur en question vous trouverez un extrait de cette publication.